Charité bien ordonnée commençant par soi-même, j'ai le plaisir de vous annoncer la mise en ligne de ma 2e Vente à Prix Net, un peu plus tôt que prévu.
Au menu : 276 lots "choisis" (essais, épreuves, variétés, lettres, etc.), pour tous les budgets. Près d'une année d'achats...
Le marché est excellent pour "tout ce qui sort de l'ordinaire" (1). Encore faut-il le dénicher, et c'est de plus en plus difficile, les propriétaires de ce type de marchandise n'étant guère concernés par la crise. En d'autre termes, ils conservent :-( et continuent d'acheter. Tous les marchands spécialisés vous le diront : dans ce métier, le plus difficile n'est pas tant de vendre, c'est d'acheter, de trouver "la bonne came" ;-).
J'espère y être parvenu !
(1) Inversement, il est catastrophique pour tout ce qui est banal : collections basiques, surtout bâties au rabais (classiques "épavesques", semi-modernes regommés, etc.), timbres types après 1940 et produits philatéliques (FDC, CM, etc.) se négocient à la casse, quand ils trouvent preneurs. C'est de moins en moins le cas, le "bouchage de cases" étant d'une part affecté par la crise et d'autre part passé de mode. Cette évolution du marché philatélique est similaire à celle d'autres marchés proches (art, collection, immobilier) : seule la qualité surnage, le reste - ce qui est "moyen" - plonge plus ou moins, crise oblige, qui touche principalement la classe... moyenne.